Publié par Jean-Pierre FORESTIER

Mon profil

Jean-Pierre FORESTIER

Biophysicien, Ingénieur de la Beauté, apprenti bio-philosophe

La Biologie/Biophysique combinée à la Beauté et à la Philosophie forment l’originalité de mes analyses et de mes pensées, souvent décalées. *

Les domaines abordés sont variés, depuis la Mode jusqu’à l’intimité moléculaire du Cerveau, en passant parfois par l’Histoire qui, quand elle concerne les femmes, est naturellement celle de la Beauté.

Après une formation technique (menuiserie, mécanique, dessin industriel),

puis en physique-chimie (à Paris Sorbonne-Jussieu), ...

puis en biophysique à Orsay (thèse soutenue à la Sorbonne), ...

... j’ai contribué depuis 1982 à rendre la Cosmétologie un peu plus scientifique et un peu plus inventive, notamment à travers Concepts et Chroniques en Cosmétologie.

J’ai enseigné la biophysique pendant quarante ans à Toulouse ainsi qu'en Tunisie, pays où j'ai pu prendre conscience de la grande diversité de la Civilisation.

La plus grande fierté de ma longue carrière est certainement la réussite professionnelle des étudiants qui ont suivi son enseignement Cosmétiques, Formulations & Commercialisations.

La Beauté a fait partie des fondamentaux que j'ai partagé avec les élèves ingénieurs de l’Institut National des Sciences Appliquées de Toulouse, dans le cadre d’un enseignement de philosophie.

Place, aussi, à l'imaginaire de la Beauté

L'imaginaire de la Beauté

Portée par la Biologie et la Philosophie, la Beauté peut inspirer l’Imaginaire à travers des contes et des nouvelles et des romans

http://imaginaire-beaute.over-blog.com/

Le sous-titre énigmatique : « La femelle d’Homo sapiens est très belle » illustre parfaitement les liens entre la Beauté, la Biologie et la Philosophie dans lesquels je me propose de vous entraîner.

Quelques explications : La femelle d’Homo sapiens est très belle.
Si j’ai utilisé le mot femelle, c’est pour montrer la force de sa diversité. C’est par sa propre diversité et la diversité du choix d’un partenaire reproducteur (y compris pour éviter les ravages de la consanguinité) que la femelle a pu conduire Homo sapiens à ce si haut degré de succès dans l’évolution. Selon certains, nous sommes allés trop haut, mais c’est une autre histoire !